« Je suis devenu chef d’orchestre pour diriger Mahler, dit Myung Whun Chung. Je trouve que chaque symphonie de Mahler raconte l’histoire d’une vie, avec ses drames, ses angoisses, ses peurs, ses élans d’amour, etc. On a fini par comprendre que Mahler a conduit la musique symphonique, partie de Haydn et poussée en avant par Beethoven, à un sommet que personne après lui n’a pu dépasser »

La Symphonie nº 2 en ut mineur « Résurrection » de Gustav Mahler est une symphonie composée entre 1888 et 1894. Le style monumental qu’elle partage avec les Première et Troisième Symphonies, la force de son message mêlant angoisse existentielle, foi chrétienne en la résurrection et célébration de la nature, et le vaste finale avec chœur et solistes vocaux dans la lignée de la Neuvième Symphonie de Beethoven, en ont fait l’une des œuvres les plus populaires de Mahler.

Une exécution dure environ quatre-vingts minutes ; elle est en cinq mouvements :

  1. Allegro maestoso [Totenfeier]
  2. Andante moderato
  3. [Scherzo]. In ruhig fließender Bewegung — attacca:
  4. »Urlicht«. Sehr feierlich, aber schlicht
  5. Im Tempo des Scherzos. Wild herausfahrend

(Wikipédia)

POUR LES PARESSEUX : rien que la fin !

TEXT von dem Lied « URLICHT »:

O Röschen rot, Der Mensch liegt in größter Not, Der Mensch liegt in größter Pein, Je lieber möcht’ ich im Himmel sein. Da kam ich auf einem breiten Weg, Da kam ein Engelein und wollt’ mich abweisen. Ach nein, ich ließ mich nicht abweisen! Ich bin von Gott und will wieder zu Gott, Der liebe Gott wird mir ein Lichtchen geben, Wird leuchten mir bis [in]1 das ewig selig’ Leben!

Gustav MAHLER : Biographie

Über das Konzert vom 11. April in PLEYEL

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